Bonjour à tous !
Le thème principal que j'ai choisi pour mes lectures en février c'est :
La Fin du Monde
J'aime bien établir une ligne directrice dans mes lectures, enchaîner les genres, changer d'ambiance et de plumes.
Bien sûr je lirai aussi des livres en dehors de ce sujet, mais pour le moment voici ma sélection et je chroniquerai ceux qui sont Lus et Approuvés.
- >> Un thriller : "Extinction" de Mathew Mather (FleuveNoir) qui divise les lecteurs sur ce black-out.
Et des sciences fictions dont :
- "le monde de la fin" de Ofir Touché Gafla (Actes Sud).
Ben le personnage voit la fin de son monde quand sa bien aimée meurt subitement. Il décide de mettre fin à sa propre vie pour aller la rejoindre dans l'autre monde, ce monde de la fin où il est persuadé que tout recommencera. Mais rien ne se passera comme prévu... Vous pouvez lire ma chronique complète : ici
- "le syndrome Noah" de Michael Fenris (Éditions Prisma) qui m'a interpellé en librairie.
Après être descendu à la cave un soir où il passe une soirée comme les autres avec sa femme, Noah se retrouve seul. Tous les humains ont disparu...
- "Il nous reste le ciel Tome 1 : sous les cendres" roman d'anticipation de Chloé Bertrand (Bragelonne)
Jusqu'où pourront-ils aller alors que le monde s'effondre ? L'histoire de quatre jeunes qui ne pourront compter que sur eux-mêmes.
- "Reset" de Brice Bigaré (Createspace Independant Amazon)
Le mal a envahi le monde et un seul homme semble le contrôler...
- Une nouveauté, un thriller, à paraître en mars !!
Voila j'espère que ces livres, dont les histoires diffèrent, me transporteront dans des univers hors des sentiers battus !
Je vous souhaite de belles lectures !
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QUATRIEMES DE COUVERTURES :
Alors qu'une gigantesque tempête de neige s'abat sur Manhattan, Internet
s'effondre, entraînant dans sa chute les infrastructures municipales :
l'électricité, l'eau courante... Le black-out est total, les vivres
viennent à manquer. Dehors, c'est la loi de la jungle, entre pillages et
épidémies. On accuse les Chinois, les cyberpirates. La faim, le froid,
la soif guettent à chaque corner – mais l'ennemi le plus redoutable
partage sans doute votre palier...
Dans la résidence de Chelsea où,
hier encore, les voisins se pressaient joyeusement autour d'un
barbecue, confiance et solidarité s'érodent peu à peu. Mike Mitchell,
jeune père et ingénieur aisé, sait que la menace peut surgir de partout.
Aucune barricade ne peut garantir contre la trahison, l'égoïsme, la
paranoïa... Sa vie, celle de sa femme et de son fils ne dépendent que de
son jugement. À mesure que la communauté se disloque, l'extinction
opère son effroyable sélection naturelle...
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Ben Mendelssohn gagne sa vie en imaginant des fins pour les auteurs en
mal d'inspiration.
C'est donc en connaisseur qu'il apprécie d'ordinaire
les ultimes rebondissements et les finales inattendus.
Mais, déformation
professionnelle ou irréparable chagrin, il ne se résigne pas au décès
absurde et prématuré de Marianne, sa femme. Persuadé qu'un autre
dénouement est possible, il est prêt à tout pour la retrouver, même si
cela signifie rejoindre l'au-delà. Une balle dans la tête plus tard, Ben
se retrouve dans l'autre monde, où il découvre des villes étranges dans
lesquelles les défunts de tous les temps vivent une seconde existence,
et des forêts peuplées d'arbres de vie gardés par des hommes qui n'ont
jamais vécu sur Terre. Mais aucune trace de Marianne. Il engage alors un
détective privé, sans savoir que sa quête aura d'irréversibles
conséquences dans le monde des vivants.
Tout à la fois roman de fantasy,
polar métaphysique et fascinant mélodrame, Le Monde de la fin réinvente
avec facétie et profondeur le grand épilogue de nos vies. Publié en
2005 en Israël, où il est rapidement devenu culte, l'ouvrage a remporté
le prix Geffen dans la catégorie du meilleur roman
fantasy/science-fiction en 2005 et le prix Kugel de littérature
hébraïque en 2006.
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Noah Gibson est un citoyen américain anonyme issu de la middle class.
Heureux avec Suzanne qui partage sa vie, il mène une existence
tranquille, dans une maison des quartiers populaires de New York, entre
son métier de banquier et les petits dîners entre amis. Ce soir-là,
Suzanne a décidé de faire un barbecue et Noah descend en maugréant dans
la cave pour le chercher. Alors qu'il farfouille dans la pénombre, un
sifflement suraigu enfle soudain et une onde de chaleur incandescente le
traverse.
Quand Noah reprend connaissance, tout le monde a
disparu. Là où se trouvaient les passants ne restent que leurs
vêtements, tombés au sol en petits tas. Les voitures sont embouties
moteur allumé, les télés continuent de brailler, mais il n'y a plus
personne. Noah est seul au monde ! Paniqué, il refuse d'y croire et se barricade chez lui en attendant les secours. Pourtant il va falloir qu'il s'organise s'il veut survivre. Curieusement, les hommes se sont volatilisés mais des animaux sont encore vivants. Noah aurait-il un nom prédestiné ? Pourquoi lui et pas un autre ? Un monde tout nouveau l'attend...
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Jusqu’où pourront-ils aller alors que le monde s’effondre sous leurs pas ?
Un roman d’anticipation sans concession, qui nous fait vivre la réalité d’une catastrophe écologique d’ampleur internationale de l’intérieur, par les yeux de quatre jeunes qui ne pourront compter que sur eux-mêmes pour s’en sortir.
Ils s’appellent Kiran, Matthew, Tobias et Charly.
Ils ont quatorze, vingt, dix et seize ans.
Ils vivent en Inde, en Australie et dans l’Utah.
Ce sont des enfants du même monde, un monde où soudain, tout va mal. Tornades, tsunamis, inondations – le dérèglement climatique brutal est à la hauteur de l’inconscience qui l’a précédé, et les conséquences sont cataclysmiques.
Pris dans la tourmente et livrés à eux-mêmes, tous les quatre vont se lancer dans une longue errance, fuyant territoires hostiles et folie humaine, à la recherche de leur famille, de lieux plus sûrs et, par-dessus tout, de l’espoir qu’une vie heureuse est encore possible, quelque part.
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XXème siècle. Un mal mystérieux ravage une petite ville d'Afrique du
Sud : l'Homme la contrôle. XXIème siècle. Le mal ressurgit sur le
monde : un seul homme a le contrôle, et ce n’est peut-être pas pour
notre bien...
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